Dreaming walls
Un film documentaire d’Amélie Van Elmbt et Maya Duverdier
Durée
80 et 52 minutesAnnée de sortie
2022

Synopsis
Le mythique Chelsea Hotel, refuge d’artistes à New York depuis plus d’un siècle, emblème de la contre-culture des années 60, sera bientôt transformé en hôtel de luxe. Cinquante et un résidents âgés y vivent encore, au milieu des travaux de réhabilitation. Entre crainte et excitation, chacun se prépare à la grande réouverture. Parmi eux, Merle Lister, doyenne du Chelsea, entreprend de créer pour la réouverture une chorégraphie à travers laquelle elle revisite son histoire personnelle et celle de l’hôtel. Ce bastion de la création artistique se confronte aujourd’hui aux désirs de ses habitants, qui s’accrochent à ce qu’il n’est désormais plus. Dans cet espace en pleine métamorphose, le film questionne le lien qui a toujours uni l’hôtel et ses artistes et offre un regard sur ce qu’il reste des utopies contestataires des années 60-70.
Coproductions
Clin d’Oeil Films (Belgique), Momento Films (Suède), Basalt Films (NL), VRT, RTBF, SVT, CBA, Centre Wallonie Bruxelles (Belgique)
Soutiens
Brouillon d’un Rêve (Scam), Fédération Wallonie Bruxelles, Aide à la composition musicale (SACEM), Eurimages, Régions Sud et Nouvelle Aquitaine, Département Charente Maritime, Flanders Audiovisual Fund, Filmfonds NL, Sweden Film Institute
Festivals
Berlinale Panorama 2022, Glasgow Film Festival, Luxembourg City Film Festival, Thessaloniki Doc Film Festival,CPH:DOX, Millenium Docs Against Gravity Film Festival, Beat Film Festival, Tribeca Film Festival.
Ventes Internationales
Presse
LE SOIR « Berlinale: ‘Dreaming Walls’, une plongée captivante au cœur du Chelsea Hotel » by Gaelle Moury
POINTCULTURE « The sinister appeal of Chelsea Hotel » by Jeroen Struys
DE STANDAARD « The end of an era – ‘Dreaming Walls’, a documentary film by Amélie van Elmbt and Maya Duverdier » by Anne-Sophie De Sutter
J:MAG « Berlinale 2022 – Panorama: Dreaming Walls – Ein Kaleidoskop durch die Zeiten des Hotels Chelsea » by Harald Ringel
THE MOVEABLE FEST « Berlinale 2022 Review: « Dreaming Walls » Opens a Window Into the Soul of the Hotel Chelsea » by Stephen Saito